Black Zone Myth Chant
Concert in situ / Spectres d’Histoire(s) de l’Aqueduc
Dans le cadre du festival Spectres d’Histoire(s) de l’Aqueduc
En partenariat avec la compagnie Les Hostilités
Informations sur le festival : leshostilites.fr
Pour ce live in situ, l’artiste de musique électronique B.Z.M.C s’empare des thématiques du festival Spectres d’Histoire(s) de l’Aqueduc pour créer une proposition sur-mesure. A travers la modification progressive et la détérioration subtile de formes sonores répétitives, l’artiste fait le lien entre les notions d’Histoire(s) et de mémoire. Entre rythmiques déconstruites et moments suspendus, cet artisan du son propose un cheminement, qui, comme celui de l’aqueduc des sources à la mer, s’altère et se transforme.
BLACK ZONE MYTH CHANT
(Editions Gravats, Shelter Press, Hospital Productions - FR)
Maxime Primault, le créateur de High Wolf, a depuis toujours multiplié les projets, parmi lesquels se trouve son alias futuriste Black Zone Myth Chant (BZMC), originellement décrit comme « Sun Ra revisité par Dj Screw ». BZMC a sorti plusieurs disques sur Editions Gravats, le label de Low Jack, notamment « Mane, Thecel, Phares » ( 2015) et « Feng Sheng » (2017). Leur contenu est un mélange singulier d’expérimentations électroniques, de grooves syncopés, de lignes de basses dub, de voix hypnotiques et de sons industriels. Nouvelle preuve de son large spectre esthétique, son album d’ambiant spirituelle, intitulé « Voyage Sacrifice », est sorti sur Shelter Press en avril 2019 et a donné lieu a des prestations exceptionnelles à Commend (New York) et sur l’Acousmonium du GRM à Paris. En 2021 il auto-produit un EP vinyle, « IN D EV IL » qui mêle influences Bass music, Drill, Dubstep et Trap. En 2023 il co-fonde le collectif Scorpion Métal, qui inaugure son propre label avec « JAMAGWAI », dernière sortie à ce jour de BZMC, en 2024, année qui voit également la création d’un nouveau projet dédié à l’improvisation, X:CO:M, dont la création a eu lieu à la galerie gr_und à Berlin.
Crédits graphisme affiche et visuel : Quentin Delaunay @quent1delaunay